Réponses au quizz :

Chant : abcdefghijklmnopqrst
Compositeur n° : 6 12 16 19814151171376 12 16 19326 12 16 1956 12 16 192011109418

Répertoire :

  • Une Sorcière comme les autres (Anne Sylvestre)

Une sorcière comme les autres est une chanson sur la condition féminine, en particulier sur la maternité.
Un rappel aux hommes d’une condition féminine présupposée à travers les âges.
Le refrain (dont le dernier vers sert de titre à la chanson) montre la communauté de destin de toutes les femmes. L’image de la sorcière souligne les pouvoirs que demandent les rôles de mère, d’épouse et de femme en même temps que le sort obscur auquel l’histoire les a souvent condamnés

  • J’aime les filles (composée et interprétée par Jacques Dutronc, écrite par Jacques Lanzmann en 1967)

  • J’aime les hommes (Les Sea Girls, auteur/compositeur : Jean-Max Rivière)

  • Prince Charmant (Salvator Dedaj)

  • Le chœur des merveilleuses (Charles Lecocq)

Chant extrait de « La Fille de madame Angot »
C’est un opéra-comique en trois actes de Charles Lecocq, livret de Clairville, Paul Siraudin et Victor Koning, créé le 4 décembre 1872 au théâtre des Fantaisies-Parisiennes de Bruxelles , puis le 21 février 1873 à Paris aux Folies-Dramatiques .
L’action se situe à Paris sous le Directoire et est inspirée du personnage traditionnel de «madame Angot». Mme Angot est l’archétype de la « poissarde » ou de la « poissonnière » subitement parvenue à la richesse, à la fin du 18ème siècle.

  • Il est bel et bon (Pierre Passereau)

Représentative de la chanson parisienne, « Il est bel et bon » de Pierre Passereau synthétise les techniques d’écriture utilisées dans ce genre vocal : onomatopées, imitations de cris d’animaux…
Publiée en 1534, écrite dans le style de Clément Janequin, cette « chanson parisienne » l’a rendu célèbre en son temps à Venise, mais aussi à travers les siècles, puisqu’elle figure encore très souvent au répertoire des chorales d’amateurs et de professionnels.

  • In Memoriam (Pierre Hugon-Andrieu)

  • Mon amie la rose (interprétée par Françoise Hardy, chanson de Cécile Caulier, mise en musique sur un boléro arrangé et déposé par Jacques Lacome d’Estalenx)

La chanson, écrite dans l’émotion inspirée par la nouvelle de la mort brutale de l’actrice Sylvia Lopez à l’âge de vingt-six ans, est présentée par Cécile Caulier au Petit Conservatoire de la chanson de Mireille. Un an plus tard, Françoise Hardy, devenue soudainement une vedette, propose à l’auteur qui ne trouve pas d’interprète de l’enregistrer.

  • Douce maison (Anne Sylvestre)

« Douce Maison » raconte l’histoire d’un viol à travers l’histoire d’une maison violentée. Le récit adopte le point de vue d’un témoin du village, où l’on pense naturellement que certaines maisons l’ont bien cherché. Un procédé d’écriture d’une habileté redoutable qui défend les victimes sans jamais être victimaire.

  • Zdravo djevice (Vinko Zganec)

populaire de Croatie, Chanson à la Vierge

  • Nomade (Paroles et musique : Michèle Bernard, Harmonisation : Martin Le Ray)

Michèle Bernard est une auteur-compositeur-interprète, mais aussi metteuse en scène et comédienne (elle participe en 1993 au conte musical d’Anne Sylvestre  » Lala et le cirque du vent « ).
Nomade va prendre place parmi les  » tubes  » de nos têtes blondes, tenant ainsi tête à la multiplication des succès commerciaux qui assaillent leurs neurones et les nôtres. Nomade évoque l’exode, et la vie en mouvement comme un mode de fonctionnement privilégié, à travers un texte poétique simple et une musique qui fait rêver aux terres sahariennes.

  • Les hormones Simone (Anne Sylvestre)

Tout particulièrement dédiée à toutes celles et à tous ceux qui ont des troubles hormonaux… adolescent/e/s ou bien d’un certain âge…
Chanson d’Anne Sylvestre, reprise par le groupe « Evasion » avec gourmandise , sous son œil bienveillant. Un répertoire riche de révoltes, de féminités, d’humour, de controverses, de douleurs, de joies, d’humanité.

  • On ne voit pas le temps passer (Jean Ferrat)

On ne voit pas le temps passer, paroles, musique et interprétation de Jean Ferrat, apparait en 1965 en prologue et épilogue du film de Réné Allio « La vieille Dame Indigne ».

Cette chanson de Jean Ferrat dépeint une époque, en partie révolue, avec une mère de famille uniquement consacrée aux tâches ménagères, à la tenue de son foyer.

Dans le film, à la mort de son mari, Madame Bertini décide, à la fin de sa vie, de vivre pour elle-même malgré l’offre intéressée de deux de ses enfants qui désirent l’héberger. Sa nouvelle façon de vivre, choquante pour tous, surtout pour sa famille, lui permet de découvrir enfin l’amitié libre et le vaste monde

  • Porteuse d’eau (Anne Sylvestre)

C’est l’une des premières chansons écrites et interprétées par Anne Sylvestre et ressort dans l’album Anne Sylvestre chante… en 1961. Elle donne la parole à une paysanne.
Elle décrit de manière poétique mais dure la misère de sa condition (« J’ai pleuré les rivières », « J’ai les semailles au fond de moi », « J’ai l’âge des fontaines »). La chanson est d’autant plus désespérée qu’elle exprime une résignation absolue : « Porteuse d’eau / Pour ma vie tout entière ».

  • Ça va ça vient (Boby Lapointe)

Robert Lapointe, dit Boby Lapointe, est un auteur-compositeur-interprète français, né le 16 avril 1922 à Pézenas (Hérault), ville où il meurt le 30 juin 1972.
Il est surtout connu pour ses chansons parsemées de calembours, de contrepèteries, d’allitérations et de paronomases, au point parfois de constituer des trompe-oreilles.

  • La vierge à la crèche (César Franck, Paroles Alphonse Daudet)

  • La boxeuse amoureuse (Arthur H)

Profonde, poétique et poignante, la chanson d’Arthur H nous transporte très loin sur un thème pourtant difficile : celui des violences conjugales. Un titre beau et poignant dédié aux femmes souffrant dans leur quotidien.
Une chanson inspirée de l’histoire de sa mère, Nicole Courtois, résistante et libre. La boxeuse amoureuse est une métaphore de la querelle et de la tendresse entre un couple de danseurs.

  • Wolfgang et moi (Marie-Paule Belle)

Sous ses aspects légers, cette histoire s’inspire de l’histoire vraie d’Anna Maria Mozart, la petite sœur de Wolfgang. Une claveciniste et violoniste prodige, qui a reçu la même formation musicale que son frère, et qui aurait pu avoir une brillante carrière de musicienne si elle n’avait pas été contrainte de se marier.
Par la fiction et l’humour, Marie-Paule Belle, féministe engagée, souligne peut-être le fait que l’histoire de la musique s’est longtemps écrit au masculin.

  • Cancion sin miedo (Vivir Quintana)

La chanson sans peur, Chanson féministe mexicaine
Il s’agit d’un hymne féministe contre les féminicides et les violences faites aux femmes, composé par la chanteuse mexicaine Vivir Quintana.
Canción Sin Miedo parle des femmes disparues, des féminicides et de la lutte des femmes qui les cherchent et demandent justice pour elles. Elle appelle les femmes et l’État à agir, dans un pays où dix femmes mourraient chaque jour en raison de leur genre. Le journal mexicain Vanguardia qualifie la chanson d’« appel à la révolution des consciences ».

  • La Marelle (Nazaré Pereira)

Nazaré Pereira, née le 10 décembre 1940, est une chanteuse et compositrice, née à Xapuri au Brésil, « de père italien et de mère indienne en Amazonie ». Elle est connue notamment pour sa superbe « Clarão de lua » et a sorti une chanson pour enfants qui a fait un tube en 1980, « Amarelinha », (la marelle). Elle chante les musiques du nord et du nord-est du Brésil.


Cheffe de chœur : Françoise Broué

Piano : Sylvie Lemoine / Guitare : Salvator Dedaj / Flûte traversière : Alice Witkowski / Clarinette : Jean-Claude Cochat